informationset réflexions informatiques
Publié le 12/06/2009 à 01:12 par diophante
Selon Ecran, se tiendrait actuellement une réunion à l’Elysée. Objectif : trouver une porte de sortie après le camouflet infligé par leConseil Constitutionnel à la loi Création et Internet

L’UMP à travers les voix de Christine Albanel et Frédéric Lefèbvre semble décidé à faire le dos rond et à modifier son texte pour le rendre applicable. Une applicabilité dont tout le monde doute.
Il faudra donc choisir entre :
- Promulguer la loi en l’état amputée des points qui posent un problème constitutionnel
- Proposer une seconde délibération au Parlement
- Rédiger une nouvelle loi
- Amender un autre texte (comme celui de la Loppsi).
Quelle sera la solution choisie par l’Elysée qui rappelons le pilote tout ceci depuis le début ?
La démission de Christine Albanel sera t-elle demandée par Nicolas Sarkozy ?
En attendant, le Net est mort de rire
Publié le 13/05/2009 à 12:00 par diophante

Dépannage à domicile, réparations d'ordinateur :
dépannage d'ordinateur
maintenance hardware PC et Mac
réparation PC
assistance informatique
récupération disque dur
sauvegarde de données
optimisation matérielle et logicielle
réseaux et internet
Configuration de routeur et de routeur sans fil
Installation de Windows ( pas de copie de Windows piratée)
Installation d'un systéme Linux comme Ubuntu ou Mandriva
Installation ou diagnostique de vos périphériques et installation des pilotes
Enlever les virus et réparer les dommages causés par ceux-ci
Enlever les logiciels espions
Mise à jours des pièces de votre ordinateur
Installation de logiciels
Configuration de courriels suite à votre installation d'Internet
Volet maintenance:
Le volet maintenance est comme l'examen ou le bilan annuel de votre ordinateur. Il comprend les points suivants:
Mise à jour critique de votre système d'opération Windows**.
Mise à jour de votre anti-virus
Un balayage pour la détection de virus
Un balayage pour la détection de logiciel espion
Une défragmentation de votre disque dur
Sauvegarde préventive de vos documents importants
Version de Windows doit être authentique.
Pour Linux Ubuntu et Mandriva les cd sont gratuits
Je me tiens a votre disposition à un prix modique et accessible
Je suis un particulier qui se mets à votre service et au service de votre ordinateur
Contact par mail ou par téléphone 03 88 34 20 03

Publié le 27/04/2009 à 12:00 par diophante
Cela devient de plus en plus fréquent , ce genre de société qui prends le client , dont elle à besoin pour vivre , pour un CON et sans limites .........Etonnant le comportement de ACER , C'est au client d'être déja à la merci du matraquage publicitaire ,.C'est tout juste si elle ne vient pas chez toi , pour te lécher ce que je pense afin que tu te rendes acquéreur de son matériel.Par contre aprés tu dois être à sa disposition et non elle qui doit se mettre à ta disposition
Quand il s'agit de se faire de l'argent, ce genre de société se précipite , par contre pour rendre le service dont elle est obligataire , la tu peut te cracher dans les mains et t'armer de patiente . En plus elle te fait payer le prix fort de tes appels téléphoniques , pas trés normal , selon moi c'est une belle escroquerie ; il faut lutter contre ce comportement de voyoux de ces sociétés et les dénoncer de partout car c'est ce genre d'entreprise qui foutent la société en l'air .
C'est clair que je pense que Acer , Dell , Darty etc .............toutes celles qui utilisent les numéros 08 , au départ c'était pour améliorer les services , il à bien été caché que c'était au profit ds entreprises , et non à celui du consommateur. Par conséquent ce ne sont que des entreprises pourries par le fric et rien d'autre , la controverse que vous attendez d'elles , vous pouvez toujours vous taper sur la colonne et dire bonjour à la dame
LE CONSOMMATEUR EST PRIS POUR UN PAUVRE CON , C'EST TOUT CE QU'IL Y A A RETIRER DE CELA , IL FAUDRAIT QUE CELA CESSE UN JOUR OU L'AUTRE
Publié le 09/03/2009 à 12:00 par diophante
grégoire, petit frère d’edvige réservé aux étrangers|/b]
{Le ministère de l’Immigration s’est doté d’un schéma directeur
informatique afin de « mettre en convergence » des « applications interministérielles rénovées et interopérables » . Comme l’écrit la Cour des comptes (voir ci-dessous), « l’utilisation d’un identifiant unique devrait permettre de rapprocher, pour une même personne, les informations recueillies pour les besoins des différentes procédures ».
Les principales applications concernées sont :
* GREGOIRE qui prendra la succession de l’ADGREF pour les titres de séjours et les mesures d’éloignement ;
* Réseau Mondial Visas (RMV) pour ce qui concerne les visas ;
* PRENAT pour la gestion des demandes de naturalisations ;
* EURODAC, base de données européenne d’empreintes digitales des demandeurs d’asile ;
* VISABIO, système de contrôle biométrique aux frontières.
Cela permettra un « traitement interministériel des dossiers des étrangers par les préfectures, avec un périmètre étendu aux consulats, services de police et unités de gendarmerie, opérateurs – ANAEM, OFPRA –, organismes sociaux, ANPE/UNEDIC, et d’une manière générale à tous les organismes dont la mission nécessite la vérification préalable de la régularité d’un étranger » .
Ces différents aspects sont développés dans les extraits d’un rapport du Sénat et d’un document budgétaire du projet de loi de finances 2009 que nous reprenons ci-dessous. Reste une question : pourquoi Grégoire ? ... allusion à l’atmosphère kafkaïenne qui accueillera les futurs candidats à l’immigration en France ?
Grégoire Samsa (Franz Kafka, La Métamorphose)
selon Robert Crumb.
« Rien n’est ici irréfléchi. »
Franz Kafka, Le Château
Le MIIIDC investit dans les applications informatiques
Extrait du rapport sénatorial sur la loi des finances 2009 [5]
La partie la plus importante de ces crédits est dévolue à l’application de gestion des dossiers des ressortissants étrangers en France (projet ADGREF2 ou Grégoire), pour 8,67 millions d’euros d’autorisations d’engagement et 11,67 millions d’euros en crédits de paiement en 2009. La totalité du projet, engagé depuis 2008, représenterait un budget de 30 millions d’euros sur la période 2008-2012. Le projet vise :
* au traitement interministériel des dossiers des étrangers par les préfectures, avec un périmètre étendu aux consulats, services de police et unités de gendarmerie, opérateurs (ANAEM, OFPRA), organismes sociaux ANPE/UNEDIC ;
* à l’introduction de la biométrie dans la perspective d’un titre de séjour biométrique ;
* et à la constitution d’une base de données statistique sur l’évolution des flux migratoires.
Dans son rapport public annuel pour 2008, au titre de l’analyse des suites données à ses travaux, la Cour des comptes a considéré que ce projet était « limité dans sa conception : il organise des échanges dématérialisés de données avec les outils informatiques des autres procédures mais ne s’attache pas à la constitution d’un système d’information global, même si l’utilisation d’un identifiant unique devrait permettre de rapprocher, pour une même personne, les informations recueillies pour les besoins des différentes procédures. Enfin, sur une question aussi sensible que celle des flux d’immigration, l’usage à des fins statistiques de fichiers de gestion rend nécessaire d’enrichir ceux-ci de données qui ne sont pas strictement nécessaires à la gestion, en organisant un partage clair des utilisations de gestion et des travaux statistiques. Or des informations essentielles pour connaître l’immigration ne sont pas recueillies, comme le nombre des mineurs étrangers, la date d’entrée effective sur le territoire, fût-elle déclarative, ou la qualification professionnelle des migrants ».
En réponse, le ministère de l’immigration a fait valoir que « tout retard supplémentaire dans le remplacement de l’actuelle application de gestion des ressortissants étrangers en France, s’accompagne d’une augmentation du risque de voir cet applicatif tomber complètement en panne ce qui perturberait gravement l’activité de délivrance de titres de séjour, et que dès lors il est préférable de faire d’abord porter l’effort sur la reconstruction de l’existant et de n’envisager des évolutions plus ambitieuses que dans un second temps. Le ministère de l’immigration et de l’intégration ne considère pas qu’il soit indispensable de concentrer dans GREGOIRE la totalité des informations nécessaires à la définition de la politique de l’immigration et de l’intégration. Par exemple, s’agissant de la qualification professionnelle des immigrants, mentionnée par la Cour, sauf si ces données individuelles devenaient nécessaires à la prise de décisions relatives, par exemple, à l’individualisation de l’accueil des étrangers admis au séjour dans notre pays il ne parait pas utile de collecter des données exhaustives, car les informations de cette nature, saisies sur une base purement déclarative et émises par des personnes ne maîtrisant pas toujours notre langue, ne présenteraient qu’une fiabilité faible au regard de celles d’enquêtes spécifiques, par sondage ».
Il convient de relever au titre des autres investissements informatiques :
* 1,6 million d’euros pour intégrer le système d’information « Réseau mondial visa » dans le schéma de cohérence globale des systèmes d’information du ministère ;
* 2,3 millions d’euros pour le projet VISABIO qui consiste à développer des systèmes de contrôle biométriques aux frontières ;
* 1,1 million d’euros pour la mise en place progressive du projet PARAFES, dont le but est la mise en place de sas automatisés de passage aux frontières aux aéroports de Roissy et d’Orly.
Grégoire Samsa (Franz Kafka, La Métamorphose) selon Robert Crumb.
Présentation du programme 303 « Immigration et asile »
Extrait du document budgétaire du PLF 2009
Le programme « Immigration et asile » est l’un des deux programmes de la mission « Immigration, asile et intégration » [7].
Il regroupe les actions et les crédits des politiques relatives à la circulation et à la police des étrangers, en situation irrégulière ou non, et à l’exercice du droit d’asile. Ce programme a pour finalités l’organisation, la réglementation, la régulation et l’accompagnement administratif et social des mouvements migratoires ainsi que la prise en charge administrative et sociale des demandeurs d’asile. Il comprend également les crédits destinés à soutenir les activités d’organismes d’animation et de diffusion des données relatives à la population française et à l’immigration. Enfin il porte les crédits relatifs aux fonctions support du programme et l’ensemble des crédits de personnels (Titre 2) regroupés en 2009 sur ce seul programme.
La totalité de l’effort financier que se propose de faire l’État en 2009 à ce titre est de 433 M€ en AE et de 436 M€ en CP [8]. Cette dotation tient compte de la hausse de la demande d’asile dans notre pays enregistrée depuis début 2008 et des éloignements. Elle intègre une évolution par rapport à 2008, avec le transfert de l’ensemble des crédits de personnels (Titre 2) sur ce programme. En effet, l’action « soutien » du programme 104 « intégration et accès à la nationalité française » est supprimée pour des raisons de mise en cohérence. Enfin et en application des décisions du conseil de modernisation des politiques publiques (CMPP) du 4 avril 2008, l’ensemble des dotations relatives aux grands systèmes d’information (« GREGOIRE » relatif aux titres de séjours et à l’éloignement, « RMV » relatif aux visas et « Prénat » relatif aux naturalisations) est regroupé au sein de l’action « soutien » afin de favoriser le développement des grandes applications informatiques et leur interopérabilité.
Pilotage et acteurs
Le responsable du programme est le Secrétaire général du ministère de l’immigration, de l’intégration, de l’identité nationale et du développement solidaire (MIIINDS).
Les acteurs participant à ce programme sont :
* le ministère de l’immigration, de l’intégration, de l’identité nationale et du développement solidaire et plus particulièrement la direction de l’immigration, le service de l’asile et le secrétariat général au titre des statistiques et des affaires générales et financières.
* les services déconcentrés : préfectures, services de police et de gendarmerie (PAF, SCTIP, DGGN…), directions régionales et départementales des affaires sanitaires et sociales et directions départementales du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle ;
* les ambassades et postes consulaires ;
* d’autres acteurs publics : le ministère de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales, le ministère de l’économie, de l’industrie et de l’emploi, le ministère du travail, des relations sociales, de la famille et de la solidarité ; le ministère de la justice etc.
* des opérateurs publics : l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA), le futur opérateur en cours de création issu de la fusion d’une partie des actions de l’agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances (ACSE) et de l’ensemble des activités de l’agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations (ANAEM) ;
* une société d’économie mixte, ADOMA, qui gère notamment des centres d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) et des foyers de travailleurs migrants.
* des acteurs privés : des associations du secteur social ou d’autres personnes morales de droit privé intervenant dans l’accueil et l’accompagnement social des demandeurs d’asile ou des étrangers placés en centres de rétention administrative (CRA).
Action législative et réglementaire
Régulation des migrations : le ministère est en charge de l’élaboration et de l’application de la législation et de la réglementation relatives aux conditions d’entrée, de séjour ou d’éloignement des étrangers ; il prépare et accompagne la mise en oeuvre des textes réglementaires afférents ; il met en oeuvre les accords internationaux et le droit communautaire.
Exercice du droit d’asile : le ministère assure l’élaboration de la législation et de la réglementation concernant l’exercice du droit d’asile et les droits sociaux qui y sont attachés.
Environnement du programme
Cadre général : les résultats du programme peuvent être affectés par de multiples facteurs politiques, économiques et sociaux tant en France qu’à l’étranger. Il s’agit :
* au niveau national : de la stabilisation ou de la hausse de la demande d’asile, de la poursuite de la réduction des délais de procédure relatifs à l’examen des demandes d’admission au statut de réfugié par l’OFPRA et la Cour nationale du droit d’asile créée en 2007 (CNDA), mais aussi de l’atteinte des objectifs dans la lutte contre l’immigration illégale et la politique d’éloignement.
* au niveau de l’Union européenne : de l’élaboration progressive d’une politique européenne en matière d’immigration, d’intégration, d’asile et de co-développement, dans le cadre notamment du pacte européen proposé aux autres États membres à l’occasion de la présidence française de l’Union européenne au second semestre 2008.
* au plan international : de l’évolution, depuis le début de la décennie, du contrôle des flux migratoires – légaux et irréguliers – et de la demande d’asile vers l’Europe et plus particulièrement vers la France.
Opérateurs
Deux opérateurs principaux interviennent dans la mise en oeuvre du programme : l’OFPRA et le futur opérateur issu de la fusion d’une partie des actions de l’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances (ACSE) et de l’ensemble des activités de l’Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations (ANAEM) (la présentation du nouvel opérateur figure dans la partie opérateurs du programme 104 « intégration et accès à la nationalité française »).
Grégoire Samsa (Franz Kafka, La Métamorphose) selon Robert Crumb.
Dépenses d’investissement
Extrait du document budgétaire du PLF 2009
GREGOIRE et EURODAC
Le projet GREGOIRE procède à une refonte totale de l’application AGDREF de gestion des dossiers des ressortissants étrangers en France, créée en mars 1993. Il vise les objectifs suivants :
* le traitement interministériel des dossiers des étrangers par les préfectures, avec un périmètre étendu aux consulats, services de police et unités de gendarmerie, opérateurs (ANAEM, OFPRA), organismes sociaux, ANPE/UNEDIC, d’une manière générale tous les organismes dont la mission nécessite la vérification préalable de la régularité d’un étranger ;
* l’introduction de la biométrie à des fins de lutte contre la fraude et conformément aux règlements européens en la matière, notamment le règlement 1030/2002/CE du 13 juin 2002, modifié par le règlement 380/2008/CE du 18 avril 2008 pour uniformiser le titre de séjour biométrique ;
* la constitution d’une base de données statistique sur l’évolution des flux migratoires.
Le Ministère [de l’Immigration] assure la maîtrise d’ouvrage du projet. La maîtrise d’oeuvre et le déploiement sont confiés au ministère de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales, par le biais d’une convention de délégation de gestion.
Le calendrier prévoit :
* un appel d’offres en 2008 pour un lancement des marchés au second semestre ;
* un développement en 2009 ;
* une migration des données d’AGDREF et un déploiement se situant entre la fin 2009 et l’été 2010.
Le coût global du projet s’élève à 30 M€. Sont inclus les coûts de réalisation (16 M€), la mise en place des plateformes d’exploitation et des équipements biométriques (5 M€), la maintenance en 2011 et 2012 (3 M€), l’accompagnement au changement et la mise en cohérence des autres systèmes d’information de la sphère « immigration » (4 M€), hors production des titres de séjour biométriques qui sera prise en charge par l’ANTS.[...]
Entre 2002 et fin 2008, 42 bornes du système EURODAC auront été installées dans les préfectures.[...]
RÉSEAU MONDIAL VISA (RMV)
Le CMMP du 11 juin 2008 confie au ministère la responsabilité de mise en oeuvre opérationnelle de la politique des visas. A cet effet, les crédits correspondants à la gestion informatique des visas, dont ceux relatifs au développement du système d’information Réseau Mondial Visa (RMV), ont été transférés du programme 151 « Français à l’étranger et affaires consulaires » (MAEE) vers le programme 303 à l’occasion des travaux préparatoires à l’élaboration du PLF 2009. Ces crédits sont retracés au niveau de l’action 01 du programme. S’y ajoutent des crédits d’investissements supplémentaires d’un montant de 1,63 M€ en 2009, pour conduire les réformes de la RGPP et intégrer le RMV dans le schéma de cohérence globale des systèmes d’information du ministère :
* 1,03 M€ pour expérimenter l’externalisation du recueil des données biométriques dans des consulats pilotes (décision CMPP du 4 avril 2008) et mettre en place les interfaces entre le RMV et GREGOIRE afin de réaliser la réforme des visas de long séjour (décision RGPP du 12 décembre 2007) ;
* 0,6 M€ pour mettre en place l’interface avec le « Visa Information System » européen, conformément à la décision du Conseil 2004/512/CE du 8 juin 2004.
L’ensemble de ces dispositions répond aux mesures annoncées lors du CMPP du 4 avril 2008 qui confie au ministère en charge de l’immigration, la modernisation et l’organisation de la cohérence des systèmes d’information des politiques de son ressort.
AUTRES SYSTÈMES D’INFORMATION
VISABIO (2,33 M€ en AE=CP) vise à développer des systèmes de contrôles biométriques aux frontières (passeports, visa, titres de séjour). La base de données des visas délivrés par les consulats et les systèmes distants mis à disposition des autorités en charge des contrôles aux frontières a été développée entre 2005 et 2008. En 2009, les crédits permettront de poursuivre le déploiement des stations d’enrôlement biométrique et de contrôle, et de faire évoluer le système afin d’en augmenter la capacité de traitement.
PARAFES (1,10 M€ en AE=CP) dont le but est d’automatiser les passages aux frontières (système de sas automatisés avec contrôle d’unicité de passage) assortis de contrôles biométriques avec interrogation à distance des fichiers de police. Implantés à Roissy et à Orly à titre expérimental, PARAFES a fait l’objet d’une décision du CMPP le 56 PLF 2009
12 décembre 2007. Les crédits en 2009 permettront de poursuivre le développement du système central et son expérimentation dans des aéroports pilotes.
PRENAT (0,5 M€ en AE et 0,3 M€ en CP). Ces crédits sont destinés à financer la réécriture de l’application de gestion des demandes de naturalisations, conformément aux annonces du CMPP du 12 décembre 2007, en intégrant la partie relative aux naturalisations par mariage (TRINAT). Autorisations d’engagement : 14 230 000 € Crédits de paiement : 17 030 000 € Ces crédits constituent des dépenses pour immobilisations incorporelles de l’État.
Fonds de concours La prévision de crédits du fonds "retour" pour 2009 au titre de l’action 4 est de 2,762 M€ en AE=CP.
L’utilisation de ce fonds doit permettre de promouvoir les normes et les meilleures pratiques communautaires en matière de gestion des retours, notamment en mettant en oeuvre des standards communs en matière d’éloignement alliant efficacité et respect du droit des étrangers. Concrètement, seront concernés par ce financement le logiciel ELOI (visant à l’utilisation d’une seule suite logicielle pour rationaliser la gestion des personnes retenues dans les centres de rétention administrative ainsi que de leur éloignement), et le nouveau système GREGOIRE compatible avec le système EURODAC, destiné à créer une référence unique et biométrique de l’étranger dès son premier contact avec l’administration française. Enfin, une assistance technique est également prévue dans le cadre de cette action.
Grégoire Samsa (Franz Kafka, La Métamorphose) selon Robert Crumb.
Notes
[1] Plus précisément : ministère de l’immigration, de l’intégration, de l’identité nationale et du développement solidaire ministère (MIIINDS).
[2] Page 27 du document, datant du 29 septembre 2008, intitulé « Mission “Immigration, asile et intégration” », téléchargeable sur le site du sur le site Performance publique : http://www.performance-publique.gou....
[3] L’ADGREF – application de gestion des dossiers des ressortissants étrangers en France – a été créé par le décret NOR : INTD9300168D du 29 mars1993. Géré par le ministère de l’Intérieur, sa fonction est d’identifier les étrangers et de vérifier la régularité de leur séjour en France ; il gérait 3,5 millions de personnes en février 2001. Référence : http://www.cnil.fr/index.php?id=1812.
[4] Page 54 de « Mission “Immigration, asile et intégration” ».
[5] Extrait de la deuxième partie, III B – L’importance de l’investissement informatique – du rapport du Sénat sur le projet de loi de finances pour 2009, par Pierre Bernard-Reymond, déposé le 20 novembre 2008, « Immigration, asile et intégration ».
[6] Page 22 du document budgétaire consacré à la mission “Immigration, asile et intégration” du projet de loi de finances 2009.
[7] La mission “Immigration, asile et intégration” comporte deux programmes (voir cette page du site Performance publique) :
* le programme 104 – Intégration et accès à la nationalité française
* le programme 303 – Immigration et asile.
[8] AE : autorisations d’engagement, CP : crédits de paiement, M€ : million d’euros.
[9] Page 54 du document budgétaire consacré à la mission “Immigration, asile et intégration” du projet de loi de finances 2009.
Publié le 03/02/2009 à 12:00 par diophante
Microsoft vient de sortir un fichier PDF de 119 pages en anglais pour un premier aperçu de ce que sera Windows 7 (prononcez Seven). Prenez le plus comme une base de travail, voire un communiqué commercial de bonne intention, que comme de réelle nouveautés. Pourtant, l'intérêt pour les utilisateurs et les techniciens est aussi de voire ce qui se prépare. Comme professionnel de l'informatique et formateur technique sur les systèmes d'exploitation de Microsoft, je donne l'avis de Microsoft, le mien (en souligné le plus souvent) et ceux de mes collègues. Je vous propose un petit voyage Windows entre les slogans commerciaux, les demi découvertes et banalités, et le crypté.
Microsoft en profite pour minimiser un peu Vista, difficile de ne pas risquer Windows 7 en plébiscitant cette pauvre erreur. Le communiqué annonce déjà que Window Vista et Serveur 2008 introduisaient quelques avancées intéressantes comme un nouveau système graphique (Aero), de nouveaux modèles de pilotes (les joies de Vista ont déjà été commentées sur ce site), voire une amélioration de la sécurité. Windows 7 devrait modifier de façon plus radicale l'architecture de Windows, tout en conservant quelques parties de Vista (on pense aux pilotes des périphériques).
Les directions annoncées par Microsoft reprennent différentes parties:
* Avancées technologiques du matériel: à la différence d'Apple, Microsoft pense toujours aux Tablet Pc avec écran tactile intégré. Désolé, mais le pourcentage des ventes par rapport aux portables standards semble faible. En parlant avec quelques uns de mes collègues informatiques (les magasins de la région), peu en ont tout simplement vus, à part dans les salons informatiques. Par contre, l'évolution devrait aussi passer par les SSD (disques durs en mémoire Flash), des connexions réseau plus rapides, une amélioration des connexions Bluetooth, le multi-core, les processeurs 64 bits et les nouvelles cartes graphiques. Jusque là, rien de bien original au niveau techniques, ces avancées technologiques sont déjà bien en place. On retrouve également en vrac les graveurs Blu-Ray, le logiciel de gravure sera directement intégré.
* De nouveau, Microsoft s'attaque aux réseaux sans fils, ou plutôt à la mobilité. On sait déjà que c'est le gros défaut de Vista, se connecter sur tout réseau accessible (ou non d'ailleurs) tant qu'il est sans fils. Pas facile de faire passer de la sécurité pour un système d'exploitation quand il se connecte sur tous les réseaux du voisinage en décryptant les clés WEP 64 bits au passage.
* La partie PC portables. Effectivement, les ventes de PC portables dépassent maintenant celles des PC de bureau, aidés en plus avec les mini-portable mis en route par l'EPC mais suivi par de nombreuses autres constructeurs. Là Microsoft a du soucis à se faire, Vista, trop lourd n'est visiblement pas adapté à ces petits ordinateurs. Laisser passer Linux sur cette partie du marché en pleine évolution serait une erreur tactique de premier point. On se souvient également que les PC à 100 $ (un peu plus tout de même) sont maintenant équipés aussi de Windows
* Web-service: Microsoft prépare effectivement un système d'exploitation en mode cloud (il s'appellera Azure et non Strata comme mentionné dans la news). Peu de renseignements filtres mais on peu prévoire une version d'Office basée sur Internet (déjà en tests).
* la personnalisation de Windows par chaque utilisateur.
* et pour terminer ... une amélioration de la sécurité avec un petit coup de pouce pour Vista, sensé l'avoir amélioré (ce que je doute).
Passé les banalités d'usage, reste ce que sera effectivement Windows Seven.
Déjà, je vous rassure, les pilotes de Vista seront compatible avec la prochaine version. Une erreur, non, beaucoup de développements ont été faits spécifiquement pour ce système d'exploitation, revenir en arrière serait probablement une aberration techniques mais mettrait à mal la stratégie de Microsoft. En plus, ceci permettra de supprimer complètement les versions 2000 et XP par manque de pilotes pour les nouveaux périphériques dans les années qui viennent (note de l'éditeur).
En deuxième, des changements attendus dans le menu démarrer permettant entre autre de gérer plus de fenêtre simultanées. Sans le dire réellement, Seven intégrera de nouveau la mise en veille prolongée plutôt que d'éteindre l'ordinateur par défaut comme dans les versions précédentes. Ceci permet un démarrage plus rapide, souvent au détriment de la stabilité. C'est aussi un des problèmes de Vista. Mais déjà, Windows 7 affichera moins de fenêtre de signalement de sécurité, renseignements divers plus ou moins utiles, ... une des première demande des utilisateurs.
L'installation devrait être plus rapide et plus facile
Pour cela, l'idée des ingénieurs de Microsoft est de détecter automatiquement les ressources réseaux accessibles (en Ethernet ou sans fils) comme les imprimantes, dossiers partagés, ... De nouveau, les techniciens d'atelier vont être content, leur propre réseau va automatiquement être intégré dans l'ordinateur du client. Par contre, cette solution va faciliter la migration des documents de l'ancien PC vers le nouveau, une des source de problèmes lors de changement d'ordinateur. En cas d'upgrade du système d'exploitation, il se fera en douceur, fini les longues attendes. Avec cette petite phrase, on peut déjà parier que les CD et DVD d'installation vont disparaître au profit de licences et de téléchargements en lignes. Pourtant, une connexion ADSL permet généralement 10 GB de transferts par mois, à peine une installation de Windows Vista. A force de miser tout sur Internet, c'est l'utilisateur qui trinque. J'en ai d'ailleurs fait par par à Microsoft lors de l'un de leur appel concernant Office 2007 avec 700 GB à télécharger par client (à comparer avec les 400 GB d'OpenOffice téléchargeables une fois et transporté d'un ordinateur à l'autre via une simple clé USB). Ces solutions à télécharger facilitent la vie des éditeurs de logiciels, pas des utilisateurs. De nouveau, l'installation reprendra toutes les versions, seule la clé entrée à l'installation permettra de définir le pack à utiliser.
La vitesse
Passé les bonnes intentions d'arrêt et démarrage (en fait une mise en veille prolongée), le nombre de processus tournant à vide (inutiles) devrait être réduit, l'occupation mémoire du système d'exploitation aussi (une bonne chose). Internet Explorer 8.0 (en cours d'élaboration) devrait également accélérer le fonctionnement du PC, notamment avec un nouveau moteur de script. C'est aussi la direction prise par Google avec son navigateur Chrome. La méthode d'indexation des fichiers, permettant une recherche plus rapide, sera également améliorée.
Stabilité
Déjà introduit avec Vista (XP en partie), Seven devrait aussi chercher des diagnostics sur le site Internet de Microsoft en cas de problèmes de plantages. Quand on sait le niveau de réponse du prédécesseur (genre achetez la nouvelle version du logiciel sur le site de l'éditeur), ça ne devrait pas être non plus une source de correction. Par contre, un nouveau mécanisme sera mis en place, séparant les processus d'une part amis aussi conservant les données mémoires des programmes qui ont provoqué le plantage, lui permettant éventuellement de continuer. Les sources habituelles de plantage seront également téléchargées du site de l'éditeur, pour corriger le plus souvent possible des erreurs de logiciels standards, liées au système d'exploitation ou non.
Economie d'énergie
Soyons logiques, les portables sont appelés à être plus souvent utilisés que les ordinateurs bureautiques. Seven devrait réduire le nombre de processus tournant en tâche de fond, réduire le niveau d'éclairage de l'écran en cas d'inactivité (même quelques minutes), mieux gérer la lecture DVD en utilisant moins le processeur (mais la mécanique consomme plus que l'électronique) et même réduire la consommation du réseau sans fils en cas d'inactivité (y compris stopper la carte réseau Ethernet quand elle n'est pas connectée).
La sécurité
On peut déjà oublier la panoplie de logiciels fournis en standard par VISTA et de nouveau présents. Les périphériques externes seront encryptés (les clés USB par exemple), la reconnaissance du système implanté sur beaucoup de portables permettant de démarre directement avec l'empreinte digitale implantée dans le système d'exploitation, les fonctions de sauvegarde et restauration améliorées par rapport au prédécesseur (j'avoue, c'était un petit plus par rapport à XP).
Problèmes et récupération
Le principal défaut des utilisateurs face à Windows Vista, c'est le nombre de fenêtres intempestives d'alertes en tout genres, souvent incompréhensibles par un utilisateur standard. L'Action Center n'affichera plus qu'un simple icône signalant un problème. La grosse nouveauté vient de la réparation au démarrage. Toutes versions confondues, c'est le principal problème de Windows. Il démarre et reboucle. Les causes sont nombreuses (par expérience): un pilote, une mise à jour de Windows, une bestiole, ... Déjà implantée dans Vista (quand ça marche), la réparation automatique est améliorée et tourne maintenant automatiquement, elle est installée directement dans la partition de démarrage.
Navigation et ergonomie
Déjà implantée dans le système d'exploitation actuel, AERO et la barre des tâches seront peu modifiées.
Par contre, une nouvelles méthode de classification des photos devrait voire le jour. Paint et Wordpad seront aussi améliorés dans le traitement d'images, ou plutôt .dans les dessins et autres formes graphiques à insérer sur les photos via une barre des tâche spécifique appelé Scenic Ribbon.
Réseau
Avec l'active Directory service implanté dans les versions Pro et dans les versions serveurs, Microsoft est déjà bien implanté. Reste les réseaux locaux des particuliers. Le nouveau principe s'appelle HomeGroup. Rien d'exceptionnel, une détection automatique des périphériques (imprimantes) et des dossiers partagés comme les librairies de photo vues plus haut avec quand même des possibilités de l'interdire. Cette technique passe aussi par les périphériques sans fils.
L'accès aux fichiers via Internet utilise une nouvelle technique, Direct Access. Il permet également le paramétrage de PC directement par Internet. Le VPN inclus également une reconnexion automatique.
Windows sera également compatible avec les nouvelles technologies Bluetooth 2.1, Ultra Wideband (UWB) and Wireless USB (WUSB).
Synchronisation, mail, ...
On le savait déjà, la messagerie ne sera plus directement intégrée dans le système d'exploitation mais bien dans une Windows Live. Il englobe également l'agenda, le partage de photos, Messenger, Windows Live Writer (une application en ligne permettant de créer des blogs), liste de contacts, ... Une méthode de Microsoft pour faire tourner un peu plus ses services Internet.
Explorer 8.0
Egalement prévu dans Windows 7, la version 8.0 devrait se baser plus sur les standards du Web (on pense par exemple à la lecture des fichiers CSS), tout en acceptant les pages compatibles avec les versions inférieures via un bouton d'affichage selon l'ancien standard (sic).
Communiquer avec son ordinateur
Cheval de bataille de cette version, l'interaction entre l'utilisateur et son ordinateur. Au programme, les écrans tactiles (avec plusieurs doigts), mais également par la voix (reconnaissance vocale déjà implantée dans Vista). Les Tablet PC ne sont pas oubliées avec un nouveau moteur de reconnaissance de caractère mais aussi un nouveau clavier logiciel.
Media Center
Ici aussi, quelques évolutions au niveaux des films, home cinéma, TV via Internet, ... avec notamment la possibilité de les enregistrer directement sur l'ordinateur. Un nouveau système de streaming est également en préparation permettant notamment de partager les émissions et films sur le réseau local. Les périphériques d'entres et de sorties pourront être directement sélectionnés, on pense aux casques audio Bluetooth.
Et pour les versions professionnelles?
Toutes les améliorations ci-dessus ne sont destinées qu'aux particuliers (et encore). Pourtant, les plus réfractaires à Vista sont surtout les entreprises qui ont passé Vista, restant sous XP, en attendant justement cette nouvelle version. Bien sûr, Microsoft va ne nouveau nous parler de sécurité: c'est le même discours depuis les quelques failles des premières versions de XP (souvenez-vous de Sasser).
Recherche d'informations
Les améliorations vont principalement porter sur les recherches dans le réseau d'entreprise, notamment sur Sharepoint (l'Intranet intégré dans Windows 2003 et 2008), mais également sur des codes de sécurité directement implantés dans le module de recherche. Les fonctions d'accès via Internet (DirectAccess et VPN vus plus haut) sont de nouveau présentes mais intègrent également des applications à distance liées à terminal Server.
Installation et déploiement.
L'installation de la même configuration sur un nombre important de PC est déjà implantée dans les versions précédentes de Windows. Dans Seven, Microsoft a séparé la partie logicielle des pilotes hardware. Ceci va permettre de juste modifier l'image (sans en reconstruire une nouvelle) lors de changement de matériels en intégrant une nouvelle partie spécifique aux PC.
Différents outils de migration sont également prévus permettant de changer directement de PC.
Virtualisation
La virtualisation est l'utilisation de programmes à distance en les faisant tourner sur un serveur qui réalise la majorité des tâches. Définition sommaire sans doute, vous pouvez en apprendre plus sur ce dictionnaire. Cette solution permet d'exécuter la majorité des applications sur un serveur utilisant Windows Server 2008 R2 Hyper-V à partir de votre ordinateur sans l'installer.
Diagnostics et réparation.
Nous savons déjà que les outils de réparation au démarrage seront directement accessible sur la partition de départ (donc avant le démarrage effectif de Windows).
Pour conclure.
Windows 7 différent de Vista? Pas vraiment. Que retenir de nouveau, des accessoires multimédia supplémentaires, aucune mention d'un nouveau système de fichiers, l'intégration de la virtualisation via le serveur spécifique de Microsoft et quelques outils intéressants de réparation.
Reste que Microsoft promettait un système plus rapide que Vista. Probablement, oui. Déjà une réduction du nombre de processus tournant à vide et un redémarrage plus rapide. Pas de quoi faire réellement un système d'exploitation novateur, ni finalement faire passer la pilule Vista aux amateurs comme aux professionnels. Quand je disais en début d'article que c'était plus de la communication qu'autre chose, je n'en était pas très loin. 119 pages pour finalement pas grand chose de novateur, des bonnes intentions, des petites corrections prévues, ... avec à la clé déjà faire parler du futur pour oublier le présent et ses erreurs: beau discours pour préparer les professionnels de l'informatique à quelques petites modifications, mais Seven n'est finalement qu'à l'état de version Alpha.
Publié le 09/12/2008 à 12:00 par diophante
N’oubliez pas que votre inscription dans la plus grande centrale d’achats au monde vous donne droit à de multiples avantages, profitez-en pour vos emplettes de Noël :
Ø Vous achetez un ordinateur chez Dell, Epson, Sony, HP, …….
Ø Vous commandez vos cartouches d'imprimante chez InkClub, qui offre, en ce moment, une cartouche gratuite (vous ne réglez que les frais de port)
Ø Vous profitez des bonnes affaires textiles chez Promod, BonPrix, Nike, BrandAlley, Daxon, Baby Walz (le spécialiste du bébé), Forzieri, ...
Ø Vous commandez des fournitures de bureau chez Office Dépôt,
Ø Vous aimez les produits high tech & vidéo : Pixmania, Archos, McAfee, Misco,
Ø Vous souhaitez le cadeau de Noël original : CadoFrance peut vous aider,
Ø Vous vous abonnez à vos revues préférées chez Plusdemags,
Ø Vous aimez flâner chez Mistergooddeal, Priceminister, la Maison de Valérie, Boulanger, La Redoute, pour trouver des idées d'amélioration de votre habitation,
Ø Vous voulez offrir des fleurs à votre famille ? Florajet, Bebloom, Eurofleuriste, …. leur livre rapidement à leur domicile ou sur le lieu de votre choix,
Ø Vous 'invitez votre petite famille à Disneyland,
Ø Vous louez une voiture chez Europcar ou Easycar,
Ø Votre véhicule a besoin de changer ses pneus : 123 pneus
Ø Vous réservez une chambre d'hôtel dans l'un des établissements du groupe Accor (Mercure, Novotel, Etap Hotel, ..), Intercontinal, Best western,
Ø Vous aimez la musique : Cultura, iTunes,
Ø Vous avez besoin de renouveler vos produits d’hygiène et de beauté : Séphora, Nocibé, Yves Rocher, Docteur Ricaud, …
Ø Et bien d’autres choses encore...
N’oubliez pas de passer par le centre commercial pour faire vos emplettes. Il est impératif d’activer votre carte (contactez-moi pour que je vous guide).
DHS offre 500 points de fidélité en répondant au questionnaire « Gagnez 500 points de récompense » accessible par votre portail : http://www.clubshop.com
DHS offre également 500 points supplémentaires pour votre première commande. N’hésitez pas.
En cas de soucis, contactez-moi, je vous aiderai.
Inscrivez - vous gratuitement : [url][url]https://www.clubshop.com/cgi/appx.cgi/NV4446851[/url]
Vous souhaitant une bonne journée
http://www.clubshop.com/cgi/appx.cgi/NV4446851
http://www.diophante.fr.gd/
Skype : arbracamentete- Courriel : arbracam@gmail.com
Publié le 05/10/2008 à 12:00 par diophante
INTRODUCTION A LA NOTION D'ORDINATEUR
La compréhension du vocabulaire informatique représente généralement la principale difficulté à laquelle se heurtent les acheteurs potentiels d'ordinateurs personnels. En effet, contrairement à un téléviseur, pour lequel les critères de choix sont assez limités, le choix d'un ordinateur revient à choisir chaque élément qui le compose et à en connaître les caractéristiques. Ce dossier n'a pas pour but de donner un sens à toutes les abréviations informatiques (dans la mesure où de nombreux constructeurs ont leurs propres terminologies), mais il cherche à aider à mieux comprendre les principaux composants d'un ordinateur, d'en expliquer le fonctionnement et d'en donner les principales caractéristiques.
Présentation de l'ordinateur
Un ordinateur est un ensemble de circuits électroniques permettant de manipuler des données sous forme binaire, c'est-à-dire sous forme de bits. Le mot « ordinateur » provient de la société IBM France. François Girard, alors responsable du service promotion générale publicité de l'entreprise IBM France, eut l'idée de consulter son ancien professeur de lettres à Paris, afin de lui demander de proposer un mot caractérisant le mieux possible ce que l'on appelait vulgairement un « calculateur » (traduction littérale du mot anglais « computer »).
Ainsi, Jaques Perret, agrégé de lettres, alors professeur de philologie latine à la Sorbonne, proposa le 16 avril 1955 le mot « Ordinateur » en précisant que le mot « Ordinateur » était un adjectif provenant du Littré signifiant « Dieux mettant de l'ordre dans le monde ». Ainsi, il expliqua que le concept de « mise en ordre » était tout à fait adapté.
TYPES D'ORDINATEURS
Toute machine capable de manipuler des informations binaires peut être qualifiée d'ordinateur, toutefois le terme « ordinateur » est parfois confondu avec la notion d'ordinateur personnel (PC, abréviation de personal computer), le type d'ordinateur le plus présent sur le marché. Or il existe beaucoup d'autres types d'ordinateurs (la liste suivante est non exhaustive) :
Amiga -- Atari -- Apple Macintosh Stations -- Alpha Stations -- SUN Stations -- Silicon Graphics
La suite de ce dossier, aussi générique soit-elle, s'applique ainsi plus particulièrement aux ordinateurs de type PC, appelés aussi ordinateurs compatibles IBM, car IBM est la firme qui a créé les premiers ordinateurs de ce type et a longtemps (jusqu'en 1987) été le leader dans ce domaine, à tel point qu'elle contrôlait les standards, copiés par les autres fabricants.
CONSTITUTION DE L'ORDINATEUR
Un ordinateur est un ensemble de composants électroniques modulaires, c'est-à-dire des composants pouvant être remplacés par d'autres composants ayant éventuellement des caractéristiques différentes, capables de faire fonctionner des programmes informatiques. On parle ainsi de « hardware » pour désigner l'ensemble des éléments matériels de l'ordinateur et de « software » pour désigner la partie logicielle.
Les composants matériels de l'ordinateur sont architecturés autour d'une carte principale comportant quelques circuits intégrés et beaucoup de composants électroniques tels que condensateurs, résistances, etc. Tous ces composants sont soudés sur la carte et sont reliés par les connexions du circuit imprimé et par un grand nombre de connecteurs : cette carte est appelée carte mère.
La carte mère est logée dans un boîtier (ou châssis), comportant des emplacements pour les périphériques de stockage sur la face avant, ainsi que des boutons permettant de contrôler la mise sous tension de l'ordinateur et un certain nombre de voyants permettant de vérifier l'état de marche de l'appareil et l'activité des disques durs. Sur la face arrière, le boîtier présente des ouvertures en vis-à-vis des cartes d'extension et des interfaces d'entrée-sortie connectées sur la carte mère.
Enfin, le boîtier héberge un bloc d'alimentation électrique (appelé communément alimentation), chargé de fournir un courant électrique stable et continu à l'ensemble des éléments constitutifs de l'ordinateur. L'alimentation sert donc à convertir le courant alternatif du réseau électrique (220 ou 110 Volts) en une tension continue de 5 Volts pour les composants de l'ordinateur et de 12 volts pour certains périphériques internes (disques, lecteurs de CD-ROM, ...). Le bloc d'alimentation est caractérisé par sa puissance, qui conditionne le nombre de périphériques que l'ordinateur est capable d'alimenter. La puissance du bloc d'alimentation est généralement comprise entre 200 et 450 Watts.
On appelle « unité centrale », l'ensemble composé du boîtier et des éléments qu'il contient. Les éléments externes à l'unité centrale sont appelés périphériques.
L'unité centrale doit être connectée à un ensemble de périphériques externes. Un ordinateur est généralement composé au minimum d'une unité centrale, d'un écran (moniteur), d'un clavier et d'une souris, mais il est possible de connecter une grande diversité de périphériques sur les interfaces d'entrée-sortie (ports séries, port parallèle, port USB, port firewire, etc.) :.
http://www.coustenoble.fr/_images/photos_petites/imprimantes/imprimante_addition_petite.jpg[/img]Imprimante,Scanner, Carte son externe, Disque dur externe, Périphérique de stockage externe,.
Appareil photo ou caméra numérique, Assistant personnel (PDA), Etc.
FAMILLES D'ORDINATEURS
On distingue généralement plusieurs familles d'ordinateurs selon leur format :
Les mainframes (en français ordinateurs centraux), ordinateurs possédant une grande puissance de calcul, des capacités d'entrée-sortie gigantesques et un haut niveau de fiabilité. Les mainframes sont utilisés dans de grandes entreprises pour effectuer des opérations lourdes de calcul ou de traitement de données volumineuses. Les mainframes sont généralement utilisés dans des architectures centralisées, dont ils sont le coeur.
Les ordinateurs personnels, parmi lesquels on distingue :
Les ordinateurs de bureau (en anglais desktop computers), composés d'un boîtier renfermant une carte mère et permettant de raccorder les différents périphériques tels que l’écran.
Les ordinateurs portables (en anglais laptop ou notebooks), composé d'un boîtier intégrant un écran dépliable, un clavier et un grand nombre de périphériques incorporés.
Les tablettes PC (en anglais tablet PC, également appelées ardoises électroniques), composées d'un boîtier intégrant un écran tactile ainsi qu'un certain nombre de périphériques incorporés.
Les centres multimédia (Media Center), représentant une plate-forme matérielle, destinée à une utilisation dans le salon pour le pilotage des éléments hifi (chaîne hifi, téléviseur, platine DVD, etc.).
Les assistants personnels (appelés PDA, pour Personal digital Assistant, ou encore handheld, littéralement «tenu dans la main»),
Parfois encore qualifiés d'organiseur (en anglais organizer) ou d'agenda électronique, sont des ordinateurs de poche proposant des fonctionnalités liées à l'organisation personnelle.
ORDINATEUR – PORTABLE
Relégué il y a quelques années au seul usage de bureautique, l'ordinateur portable possède aujourd'hui des capacités de traitement et de stockage proches de l'ordinateur de bureau, lui permettant aisément d'assurer des fonctions multimédia de pointe (lecture de DVD, jeu vidéo, traitement d'images 3D, etc.). Si le prix d'un ordinateur portable reste plus élevé que celui d'un ordinateur de bureau en raison de sa mobilité, son usage est également plus varié dans la mesure où il peut être emmené presque partout.
Toutefois, étant donné son encombrement réduit, la majeure partie des pièces de l'ordinateur portable sont intégrées et ne pourront être changées, c'est la raison pour laquelle il est nécessaire de choisir ses caractéristiques techniques en connaissance de cause et en fonction de l'utilisation que l'on souhaite en faire. En contrepartie, l'intégration de toutes les pièces par le constructeur permet de minimiser les risques d'incompatibilités matérielles (conflits matériels)
Qu'est-ce qu'un ordinateur portable ?
Un ordinateur portable (en anglais laptop ou notebook) est un ordinateur intégrant l'ensemble des éléments dont il a besoin pour fonctionner, dont une alimentation électrique sur batterie, un écran et un clavier, dans un boîtier de faible dimension (en moyenne 360 x 40 x 270).
INTERET D'UN ORDINATEUR PORTABLE
L'intérêt principal d'un ordinateur portable par rapport à un ordinateur de bureau est sa mobilité ainsi que son encombrement réduit. En contrepartie le prix est généralement plus élevé pour des performances légèrement moindres et la configuration matérielle du portable est beaucoup moins souple, sauf à connecter des périphériques externes supplémentaires grâce aux nombreux ports d'entrée-sortie qui l'équipent. L'achat d'un ordinateur portable doit donc avant tout être motivé par un besoin de mobilité ou dans un souci d'économie de place.
De plus, avec l'émergence des réseaux sans fil, et en particulier du WiFi, il devient très facile de se connecter à Internet dans les lieux publics équipés de Hot-Spots ou bien tout simplement de n'importe quelle pièce du domicile, pour peu que ce dernier soit équipé d'une borne WiFi.
Pour des utilisations multimédias avancées (par exemple manipulation de vidéo numérique, connexion d'un appareil photo numérique, baladeur mp3, etc.), le choix devra se porter d'une part sur les performances de l'ordinateur (tant graphiques qu'en puissance de calcul) mais également sur les types de ports d'entrée-sortie disponibles et de leur nombre.
PROCESSEUR ET MEMOIRE VIVE
Le processeur représente le cerveau de l'ordinateur, dans la mesure où il traite les instructions. Sa vitesse d'exécution est conditionnée par sa fréquence (en MHz), mais deux processeurs de marques différentes peuvent avoir des performances tout à fait équivalentes en ayant des fréquences très différentes..
Si la fréquence du processeur reste un élément essentiel parmi les critères de choix d'un ordinateur portable, il est aujourd'hui préférable de privilégier la qualité de l'ensemble des composants (carte graphique, mémoire) à la seule valeur de la fréquence du processeur..
De plus, la quantité de mémoire vive peut avoir une importance considérable sur les performances, notamment pour des usages multimédias. Outre la quantité de mémoire, il est également important d'être attentif également à sa fréquence de fonctionnement, correspondant à la fréquence à laquelle vont tourner la plupart des périphériques..
ÉCRAN
Les écrans d'ordinateurs portables sont des écrans plats. Ils sont la plupart du temps à matrice active (généralement avec la technologie TFT, Thin Film transistor), c'est-à-dire que chaque pixel est contrôlé individuellement ce qui permet une meilleure fluidité d'affichage que les écrans à matrice passive, pour lesquels les pixels sont contrôlés par ligne et par colonne. Les dernières générations privilégient les matrices actives au détriment des matrices passives.
L'écran est caractérisé en premier lieu par sa taille, exprimée en pouces (un pouce valant 2,54 cm), correspondant à la diagonale de l'écran. Contrairement aux écrans à tube cathodique (écrans CRT), la diagonale d'un écran plat correspond à la surface utile d'affichage. D'autre part, compte tenu des technologies à base de cristaux liquides utilisées dans les écrans plats, la qualité d'un écran plat se définit par le temps de réponse, durée nécessaire afin de faire passer un pixel du blanc au noir, puis de nouveau du noir au blanc.
Le format d'affichage est généralement en 4:3 (soit 4 unités de largeur pour 3 unités de hauteur), mais il existe des formats d'écrans d'ordinateurs portables exotiques, proches du 16:9, tel que le format 15:10, plus adapté à la visualisation de séquences vidéos (lecture de DVD par exemple). Ce type d'écran présente en général une taille de diagonale non entière (par exemple 15.4 pouces).
DISQUE DUR
Le disque dur est le lieu de stockage des données de l'ordinateur, contrairement à la mémoire vive qui est une mémoire volatile servant uniquement de zone de transit d'informations lors du fonctionnement de l'ordinateur. La caractéristique la plus importante du disque dur est sa capacité (exprimée en gigaoctets), car elle détermine la quantité de données (et en particulier de programmes) que l'on peut stocker. Toutefois il convient de porter une attention particulière à ses performances (liées notamment à sa vitesse de rotation) pouvant pénaliser les capacités globales du système si elles sont trop faibles.
L'existence de disques durs externes (Firewire ou USB 2.0) permet néanmoins de s'affranchir des limitations intrinsèques des disques durs standard des ordinateurs portables et d'étendre autant que de besoin la capacité de stockage.
CARTE GRAPHIQUE
La carte graphique de l'ordinateur portable est intégrée, c'est-à-dire qu'il s'agit d'une puce graphique spécialisée (chipset graphique) soudée sur la carte-mère et il n'est pas possible d'en changer une fois l'ordinateur portable acheté. Ainsi, si l'ordinateur portable est destiné à un usage pour des applications graphiques (visualisation ou manipulation de vidéo, jeux vidéos, applications 3D, etc.) il est conseillé de choisir un chipset graphique de marque.
LECTEUR OU GRAVEUR DE CD/DVD
De plus en plus d'ordinateurs portables intègrent en standard un lecteur de CD-ROM ou de DVD-ROM, voire un graveur sur des configurations de plus haut niveau. Lorsque le lecteur combine plusieurs de ces fonctions on parle alors de « combo ».
Il existe différents types de graveurs de CD (dont la capacité est d'environ 700 Mo) et de DVD (dont la capacité est de 4.7 Go).
Le terme « CD-R » désigne les disques compacts enregistrables,
Le terme « CD-RW » concerne les disques compacts réinscriptibles (réenregistrables),
Le terme « DVD-R » désigne les DVD enregistrables,
Le terme « DVD-RAM » désigne les DVD réinscriptibles (réenregistrables). Il existe ainsi deux normes incompatibles promues par des consortiums de constructeurs différents :
DVD+RW, porté par Philips, possédant des performances en matière de temps d'enregistrement généralement un peu meilleures que le format DVD-RW.
DVD-RW, dont le coût est légèrement moindre que les DVD+RW.
Il est à noter que des graveurs supporte l'ensemble de ces standards, on parle alors de graveurs « multi formats ».
INTERFACES D'ENTREES-SORTIES
Les interfaces d'entrées-sorties permettent d'étendre les fonctionnalités des ordinateurs portables en connectant des périphériques tiers. Les portables possèdent généralement des connecteurs PC Card (PCMCIA) permettant d'insérer des périphériques supplémentaires.
Les ports USB sont présents sur la totalité des ordinateurs portables récents mais il convient toutefois de vérifier s'il s'agit de ports USB 1.0, proposant un débit maximal de 12 Mbit/s, ou de ports USB 2.0, pouvant atteindre 480 Mbit/s !
La présence de ports IEEE 1394 (portant le nom commercial de Firewire pour Apple et i.LINK pour IBM) peut être intéressante notamment pour l'acquisition vidéo à partir d'un caméscope numérique DV. Les ports FireWire permettent d'obtenir des débits de l'ordre de 800 Mbit/s !
Quelques portables possèdent en standard des lecteurs multicartes capables de lire les mémoires flash au format Secure digital (SD Card), Multimedia Card (MMC), Memory stick (MS), SmartMedia (SM), Compact Flash (CF) ou xD picture card. Ce type de lecteur peut être extrêmement pratique pour les possesseurs de lecteurs mp3, d'appareil photo numérique ou assistants numériques personnels car il rend possible la copie directe de fichiers à haut débit (par exemple pour transférer de la musique ou des photos numériques).
ENTREES-SORTIES AUDIO ET VIDEO
L'ordinateur portable possède un écran et des hauts parleurs internes mais dans certaines circonstances il est utile, voire nécessaire, de pouvoir le connecter à des systèmes hi fi ou vidéos plus performants, par exemple pour une présentation ou pour la projection d'un DVD.
Les ordinateurs portables proposent en standard un connecteur VGA permettant de les connecter à un moniteur externe ou un vidéoprojecteur. Parfois les portables sont équipés d'une sortie vidéo (appelée sortie TV), c'est-à-dire un connecteur S-Video permettant de connecter l'ordinateur directement à un téléviseur.
Concernant la restitution audio, les ordinateurs portables possèdent une prise casque et une entrée microphone au format jack standard, ainsi que des hauts-parleurs stéréo de plus ou moins bonne qualité. La présence d'une sortie S/PDIF (sortie audio numérique) peut permettre de connecter l'ordinateur à un système sonore supportant une restitution en Dolby Digital 5.1 (pour une utilisation en Home Cinema par exemple).
DISPOSITIF DE POINTAGE / CLAVIER
Les ordinateurs portables intègrent en standard un clavier ainsi qu'un dispositif de pointage. Le dispositif de pointage est généralement un touchpad (pavé tactile), c'est-à-dire une surface plane tactile permettant de déplacer le curseur à la manière d'une souris. Certains portables sont parfois équipés de trackpoint, c'est-à-dire un petit capuchon tactile (généralement rouge) situé au centre du clavier permettant de déplacer le curseur par stimulation tactile.
Clavier et dispositif de pointage doivent être choisis en fonction de leur ergonomie, il est donc conseillé de les essayer afin de déterminer si leur confort d'utilisation convient..Il est à noter tout de même que rien n'empêche de connecter une souris traditionnelle à l'ordinateur portable pour plus de confort..
MOBILITE ET CONNECTIVITE RESEAU
Dans un monde communiquant il est inconcevable d'imaginer un ordinateur portable sans fonctionnalités réseau. On parle ainsi de nomadisme ou de mobilité pour désigner la capacité qu'a aujourd'hui un individu d'avoir accès à ses informations à travers Internet, quel que soit l'endroit où il se situe..
La plupart des ordinateurs portables sont équipés en standard d'un modem 56K V90, permettant de se connecter à Internet grâce au réseau téléphonique (RTC, réseau téléphonique commuté)..
Le connecteur réseau « 10/100 Mbit Fast Ethernet » permet de se connecter à un réseau local (LAN, Local Area Network) ou bien de raccorder l'ordinateur à un équipement réseau tel qu'un modem ADSL, un routeur ou un switch ou bien directement à un autre ordinateur par l'intermédiaire d'un câble réseau croisé..
Avec l'émergence des réseaux sans fil et la multiplication de points d'accès réseau sans fil dans des espaces publics ou privés (appelés Hot spots), la notion de nomadisme prend tout son sens. Ainsi, certains ordinateurs portables proposent en standard des adaptateurs WiFi, intégrés ou non. La technologie WiFi permet de connecter entre eux des ordinateurs équipés d'adaptateurs spécialisés (cartes WiFi) sur un rayon de plusieurs dizaines voire centaines de mètres et éventuellement de les relier à Internet grâce à un routeur sans fil (borne WiFi). Il existe plusieurs normes WiFi utilisant des canaux de transmission différents :.
Le WiFi 802.11a permettant d'obtenir un débit théorique de 54 Mbps (30 Mbps réels).
Le WiFi 802.11b permettant d'obtenir un débit théorique de 11 Mbps (6 Mbps réels) avec une portée pouvant aller jusqu'à 300 mètres dans un environnement dégagé..
Le WiFi 802.11g permettant d'obtenir un débit théorique de 54 Mbps (30 Mbps réels) sur la bande de fréquence des 2.4 GHz..
La technologie Bluetooth équipant certains ordinateurs portables est également une technologie de réseaux sans fil mais son utilisation est essentiellement axée sur les réseaux personnels sans fil (WPAN, Wireless Personal Area Network), c'est-à-dire qu'elle est destinée à la connexion de petits appareils domestiques sans fil tels que téléphones portables, PDA, etc..
La technologie IrDa (infrarouge) permet également de connecter de petits appareils sans liaison filaire mais souffre, contrairement à la technologie BlueTooth, de limitations en terme de distance (quelques dizaines de centimètres en vis-à-vis) et de débits réduits..
CARACTERISTIQUES TECHNIQUES
Lors de l'achat d'un ordinateur portable, outre le choix des éléments matériels, il est notamment important de veiller aux caractéristiques suivantes :.
poids : un ordinateur portable est fait pour être transporté, il est ainsi essentiel de le choisir le plus léger possible. Attention tout de même aux portables légers dont l'essentiel des périphériques est externe (lecteur de CD-ROM/DVD-ROM, souris, alimentation, boîtier de branchements divers, etc.).
autonomie : L'autonomie de l'ordinateur est fonction de la consommation de ses composants ainsi que des caractéristiques de la batterie..
Ni-Cad (Nickel / Cadmium) : type de batterie rechargeable devenu obsolète car souffrant de l'effet mémoire, c'est-à-dire une baisse progressive de la charge maximale lorsque celle-ci est rechargée alors qu'elle n'est pas complètement "à plat"..
Ni-Mh (Nickel / Métal Hybride): type de batterie rechargeable plus performant que les batteries Nickel-Cadmium..
Li-Ion (Lithium / Ion): type de batterie rechargeable équipant la majorité des ordinateurs portables. Les batteries Li-Ion offrent d'excellentes performances pour un coût modeste. D'autre part les batteries Li-Ion ne souffrent pas de l'effet mémoire, ce qui signifie qu'il n'est pas nécessaire de vider complètement la batterie avant de recharger l'appareil..
Li-Polymer (Lithium / Polymère) : type de batterie rechargeable ayant des performances équivalentes aux batteries Li-Ion mais beaucoup plus légères dans la mesure où le liquide électrolytique et le séparateur microporeux des batteries Li-Ion sont remplacés par un polymère solide, beaucoup plus léger. En contrepartie le temps de charge est plus important et leur durée de vie est plus faible..
On caractérise généralement l'autonomie de l'ordinateur par le temps moyen d'activité de l'ordinateur en veille / en utilisation..
Température de fonctionnement : Le fonctionnement des différents éléments de l'ordinateur portable (notamment le processeur) induit une augmentation de la température de l'ordinateur portable pouvant parfois être gênante (en particulier lorsque la température du clavier devient trop importante)..
Il peut exister un danger dû à la surchauffe, accentué notamment lorsque l'ordinateur portable fonctionne avec l'écran fermé, car celui-ci peut empêcher une bonne dissipation thermique..
bruit : Afin de dissiper la chaleur due au fonctionnement des différents éléments de l'ordinateur portable (notamment le processeur), les ordinateurs portables sont parfois équipés de dispositifs d'évacuation de la chaleur tels que des ventilateurs, pouvant créer une gêne auditive importante. Il en est de même pour les moteurs entraînant la rotation des disques durs ou du lecteur/graveur de CD/DVD. Il convient donc de se renseigner sur le niveau de bruit de l'ordinateur en fonctionnement..
Station d'accueil
Certains portables sont parfois fournis avec une station d'accueil (appelée aussi dock station ou réplicateur de ports). Il s'agit d'un réceptacle permettant d'accueillir l'ordinateur portable afin de le connecter très simplement à un clavier, une souris, un écran, etc.
Garantie
L'achat d'un ordinateur portable est un investissement important, il est donc essentiel de se prémunir des risques liés à un dysfonctionnement en souscrivant à une garantie. La garantie est d'autant plus essentielle sur un ordinateur portable qu'il n'est pas possible d'interchanger des éléments (carte graphique, carte son, etc.) comme cela peut être le cas sur des ordinateurs de bureau. La plupart des offres incluent de facto une garantie de quelques mois à un an, mais il peut être avisé de prendre une extension de garantie de quelques années afin de couvrir le maximum de risques.
Veillez à vous renseigner sur le type de dommages couverts par la garantie. Les batteries sont notamment rarement couvertes.
PROCESSEUR CPU
Présentation
Le processeur (CPU, pour Central Processing Unit, soit Unité Centrale de Traitement) est le cerveau de l'ordinateur. Il permet de manipuler des informations numériques, c'est-à-dire des informations codées sous forme binaire, et d'exécuter les instructions stockées en mémoire.
Le premier microprocesseur (Intel 4004) a été inventé en 1971. Il s'agissait d'une unité de calcul de 4 bits, cadencé à 108 kHz. Depuis, la puissance des microprocesseurs augmente exponentiellement. Quels sont donc ces petits morceaux de silicium qui dirigent nos ordinateurs?
FONCTIONNEMENT
Le processeur (noté CPU, pour Central Processing Unit) est un circuit électronique cadencé au rythme d'une horloge interne, grâce à un cristal de quartz qui, soumis à un courant électrique, envoie des impulsions, appelées « top ». La fréquence d'horloge (appelée également cycle, correspondant au nombre d'impulsions par seconde, s'exprime en Hertz (Hz). Ainsi, un ordinateur à 200 MHz possède une horloge envoyant 200 000 000 de battements par seconde. La fréquence d'horloge est généralement un multiple de la fréquence du système (FSB, Front-Side Bus), c'est-à-dire un multiple de la fréquence de la carte mère
A chaque top d'horloge le processeur exécute une action, correspondant à une instruction ou une partie d'instruction. L'indicateur appelé CPI (Cycles Par Instruction) permet de représenter le nombre moyen de cycles d’horloge nécessaire à l’exécution d’une instruction sur un microprocesseur. La puissance du processeur peut ainsi être caractérisée par le nombre d'instructions qu'il est capable de traiter par seconde. L'unité utilisée est le MIPS (Millions d'Instructions Par Seconde) correspondant à la fréquence du processeur que divise le CPI.
INSTRUCTION
Une instruction est l'opération élémentaire que le processeur peut accomplir. Les instructions sont stockées dans la mémoire principale, en vue d'être traitée par le processeur. Une instruction est composée de deux champs :
le code opération, représentant l'action que le processeur doit accomplir ;
le code opérande, définissant les paramètres de l'action. Le code opérande dépend de l'opération. Il peut s'agir d'une donnée ou bien d'une adresse mémoire.
Le nombre d'octets d'une instruction est variable selon le type de donnée (l'ordre de grandeur est de 1 à 4 octets).
Les instructions peuvent être classées en catégories dont les principales sont :.
Accès à la mémoire : des accès à la mémoire ou transferts de données entre registres..
Opérations arithmétiques : opérations telles que les additions, soustractions, divisions ou multiplication..
Opérations logiques : opérations ET, OU, NON, NON exclusif, etc..
Contrôle : contrôles de séquence, branchements conditionnels, etc..
REGISTRES
Lorsque le processeur exécute des instructions, les données sont temporairement stockées dans de petites mémoires rapides de 8, 16, 32 ou 64 bits que l'on appelle registres. Suivant le type de processeur le nombre global de registres peut varier d'une dizaine à plusieurs centaines..
Les registres principaux sont :.
le registre accumulateur (ACC), stockant les résultats des opérations arithmétiques et logiques ;
l
e registre d'état (PSW, Processor Status Word), permettant de stocker des indicateurs sur l'état du système (retenue, dépassement, etc.) ;.
le registre instruction (RI), contenant l'instruction en cours de traitement ;.
le compteur ordinal (CO ou PC pour Program Counter), contenant l'adresse de la prochaine instruction à traiter ;.
le registre tampon, stockant temporairement une donnée provenant de la mémoire..
MEMOIRE CACHE
La mémoire cache (également appelée antémémoire ou mémoire tampon) est une mémoire rapide permettant de réduire les délais d'attente des informations stockées en mémoire vive. En effet, la mémoire centrale de l'ordinateur possède une vitesse bien moins importante que le processeur. Il existe néanmoins des mémoires beaucoup plus rapides, mais dont le coût est très élevé. La solution consiste donc à inclure ce type de mémoire rapide à proximité du processeur et d'y stocker temporairement les principales données devant être traitées par le processeur. Les ordinateurs récents possèdent plusieurs niveaux de mémoire cache :.
La mémoire cache de premier niveau (appelée L1 Cache, pour Level 1 Cache) est directement intégrée dans le processeur. Elle se subdivise en 2 parties :
La première est le cache d'instructions, qui contient les instructions issues de la mémoire vive décodées lors de passage dans les pipelines.
La seconde est le cache de données, qui contient des données issues de la mémoire vive et les données récement utilisées lors des opérations du processeur.
Les caches du premier niveau sont très rapides d'accés. Leur délai d'accès tend à s'approcher de celui des registres internes aux processeurs.
La mémoire cache de second niveau (appelée L2 Cache, pour Level 2 Cache) est située au niveau du boîtier contenant le processeur (dans la puce). Le cache de second niveau vient s'intercaler entre le processeur avec son cache interne et la mémoire vive. Il est plus rapide d'accès que cette dernière mais moins rapide que le cache de premier niveau.
La mémoire cache de troisième niveau (appelée L3 Cache, pour Level 3 Cache) est située au niveau de la carte mère.
Tous ces niveaux de cache permettent de réduire les temps de latence des différentes mémoires lors du traitement et du transfert des informations. Pendant que le processeur travaille, le contrôleur de cache de premier niveau peut s'interfacer avec celui de second niveau pour faire des transferts d'informations sans bloquer le processeur. De même, le cache de second niveau est interfacé avec celui de la mémoire vive (cache de troisième niveau), pour permettre des transferts sans bloquer le fonctionnement normal du processeur.
SIGNAUX DE COMMANDE
Les signaux de commande sont des signaux électriques permettant d'orchestrer les différentes unités du processeur participant à l'exécution d'une instruction. Les signaux de commandes sont distribués grâce à un élément appelé séquenceur. Le signal Read / Write, en français lecture / écriture, permet par exemple de signaler à la mémoire que le processeur désire lire ou écrire une information.
UNITES FONCTIONNELLES
Le processeur est constitué d'un ensemble d'unités fonctionnelles reliées entre elles. L'architecture d'un microprocesseur est très variable d'une architecture à une autre, cependant les principaux éléments d'un microprocesseur sont les suivants
Une unité d'instruction (ou unité de commande, en anglais control unit) qui lit les données arrivant, les décode puis les envoie à l'unité d'exécution ; L'unité d'instruction est notamment constituée des éléments suivants :
séquenceur (ou bloc logique de commande) chargé de synchroniser l'exécution des instructions au rythme d'une horloge. Il est ainsi chargé de l'envoi des signaux de commande ;
compteur ordinal contenant l'adresse de l'instruction en cours ;
registre d'instruction contenant l'instruction suivante.
Une unité d'exécution (ou unité de traitement), qui accomplit les tâches que lui a données l'unité d'instruction. L'unité d'exécution est notamment composée des éléments suivants :
L'unité arithmétique et logique (notée UAL ou en anglais ALU pour Arithmetical and Logical Unit). :[font=Ballpark][size=14]L'UAL assure les fonctions basiques de calcul arithmétique et les opérations logiques (ET, OU, Ou exclusif, etc.) ;
:
L'unité de virgule flottante (notée FPU, pour Floating Point Unit), qui accomplit les calculs complexes non entiers que ne peut réaliser l'unité arithmétique et logique.
Le registre d'état ;
Le registre accumulateur.
Une unité de gestion des bus (ou unité d'entrées-sorties), qui gère les flux d'informations entrant et sortant, en interface avec la mémoire vive du système ;
Le schéma ci-dessus donne une représentation simplifiée des éléments constituant le processeur (l'organisation physique des éléments ne correspond pas à la réalité) :
TRANSISTOR
Pour effectuer le traitement de l'information, le microprocesseur possède un ensemble d'instructions, appelé « jeu d'instructions », réalisées grâce à des circuits électroniques. Plus exactement, le jeu d'instructions est réalisé à l'aide de semiconducteurs, « petits interrupteurs » utilisant l'effet transistor, découvert en 1947 par John Barden, Walter H. Brattain et William Shockley qui reçurent le prix Nobel en 1956 pour cette découverte.
Un transistor (contraction de transfer resistor, en français résistance de transfert) est un composant électronique semi-conducteur, possédant trois électrodes, capable de modifier le courant qui le traverse à l'aide d'une de ses électrodes (appelée électrode de commande). On parle ainsi de «composant actif», par opposition aux « composants passifs », tels que la résistance ou le condensateur, ne possédant que deux électrodes (on parle de « bipolaire »).
Le transistor MOS (métal, oxyde, silicium) est le type de transistor majoritairement utilisé pour la conception de circuits intégrés. Le transistor MOS est composé de deux zones chargées négativement, appelées respectivement source (possédant un potentiel quasi-nul) et drain (possédant un potentiel de 5V), séparées par une région chargée positivement, appelée substrat (en anglais substrate). Le substrat est surmonté d'une électrode de commande, appelée porte (en anglais gate, parfois également appelée grille), permettant d'appliquer une tension sur le substrat.
Lorsque aucune tension n'est appliquée à l'électrode de commande, le substrat chargé positivement agit telle une barrière et empêche les électrons d'aller de la source vers le drain. En revanche, lorsqu'une tension est appliquée à la porte, les charges positives du substrat sont repoussées et il s'établit un canal de communication, chargé négativement, reliant la source au drain.
Le transistor agit donc globalement comme un interrupteur programmable grâce à l'électrode de commande. Lorsqu'une tension est appliquée à l'électrode de commande, il agit comme un interrupteur fermé, dans le cas contraire comme un interrupteur ouvert.
Circuits intégrés
Assemblés, les transistors peuvent constituer des circuits logiques, qui, assemblés à leur tour, constituent des processeurs. Le premier circuit intégré date de 1958 et a été mis au point par la société Texas Instruments.
Les transistors MOS sont ainsi réalisés dans des tranches de silicium (appelées wafer, traduisez gaufres), obtenues après des traitements successifs. Ces tranches de silicium sont alors découpées en éléments rectangulaires, constituant ce que l'on appelle un « circuit ». Les circuits sont ensuite placés dans des boîtiers comportant des connecteurs d'entrée-sortie, le tout constituant un « circuit intégré ». La finesse de la gravure, exprimée en microns (micromètres, notés µm), définit le nombre de transistors par unité de surface. Il peut ainsi exister jusqu'à plusieurs millions de transistors sur un seul processeur.
La loi de Moore, édictée en 1965 par Gordon E. Moore, cofondateur de la société Intel, prévoyait que les performances des processeurs (par extension le nombre de transistors intégrés sur silicium) doubleraient tous les 12 mois. Cette loi a été révisée en 1975, portant le nombre de mois à 18.
La loi de Moore se vérifie encore aujourd'hui.
Dans la mesure où le boîtier rectangulaire possède des broches d'entrée-sortie ressemblant à des pattes, le terme de « puce électronique » est couramment employé pour désigner les circuits intégrés.
FAMILLES
Chaque type de processeur possède son propre jeu d'instruction. On distingue ainsi les familles de processeurs suivants, possédant chacun un jeu d'instruction qui leur est propre :80x86 : le « x » représente la famille. On parle ainsi de 386, 486, 586, 686, etc....................ARM - IA-64 - MIPS - Motorola 6800 - PowerPC - SPARC ...
Cela explique qu'un programme réalisé pour un type de processeur ne puisse fonctionner directement sur un système possédant un autre type de processeur, à moins d'une traduction des instructions, appelée émulation. Le terme « émulateur » est utilisé pour désigner le programme réalisant cette traduction.
JEU D'INSTRUCTION
On appelle jeu d’instructions l’ensemble des opérations élémentaires qu'un processeur peut accomplir. Le jeu d'instruction d'un processeur détermine ainsi son architecture, sachant qu'une même architecture peut aboutir à des implémentations différentes selon les constructeurs.Le processeur travaille effectivement grâce à un nombre limité de fonctions, directement câblées sur les circuits électroniques. La plupart des opérations peuvent être réalisé à l'aide de fonctions basiques. Certaines architectures incluent néanmoins des fonctions évoluées courante dans le processeur.
ARCHITECTURE CISC
L'architecture CISC (Complex Instruction Set Computer, soit « ordinateur à jeu d'instruction complexe ») consiste à câbler dans le processeur des instructions complexes, difficiles à créer à partir des instructions de base.L'architecture CISC est utilisée en particulier par les processeurs de type 80x86. Ce type d'architecture possède un coût élevé dû aux fonctions évoluées imprimées sur le silicium.D'autre part, les instructions sont de longueurs variables et peuvent parfois nécessiter plus d'un cycle d'horloge. Or, un processeur basé sur l'architecture CISC ne peut traîter qu'une instruction à la fois, d'où un temps d'exécution conséquent.
Architecture RISC
Un processeur utilisant la technologie RISC (Reduced Instruction Set Computer, soit « ordinateur à jeu d'instructions réduit ») n'a pas de fonctions évoluées câblées.
Les programmes doivent ainsi être traduits en instructions simples, ce qui entraîne un développement plus difficile et/ou un compilateur plus puissant. Une telle architecture possède un coût de fabrication réduit par rapport aux processeurs CISC. De plus, les instructions, simples par nature, sont exécutées en un seul cycle d'horloge, ce qui rend l'exécution des programmes plus rapide qu'avec des processeurs basés sur une architecture CISC. Enfin, de tels processeurs sont capables de traîter plusieurs instructions simultanément en les traitant en parallèle.
AMELIORATIONS TECHNOLOGIQUES
Au cours des années, les constructeurs de microprocesseurs (appelés fondeurs), ont mis au point un certain nombre d'améliorations permettant d'optimiser le fonctionnement du processeur.
Le parallélisme
Le parallélisme consiste à exécuter simultanément, sur des processeurs différents, des instructions relatives à un même programme. Cela se traduit par le découpage d'un programme en plusieurs processus traités en parallèle afin de gagner en temps d'exécution.
Ce type de technologie nécessite toutefois une synchronisation et une communication entre les différents processus, à la manière du découpage des tâches dans une entreprise : le travail est divisé en petits processus distincts, traités par des services différents. Le fonctionnement d'une telle entreprise peut être très perturbé lorsque la communication entre les services ne fonctionne pas correctement.
LE PIPELINE
Le pipeline (ou pipelining) est une technologie visant à permettre une plus grande vitesse d'exécution des instructions en parallélisant des étapes.
Pour comprendre le mécanisme du pipeline, il est nécessaire au préalable de comprendre les phases d'exécution d'une instruction. Les phases d'exécution d'une instruction pour un processeur contenant un pipeline « classique » à 5 étages sont les suivantes :
LI : (Lecture de l'Instruction (en anglais FETCH instruction) depuis le cache ;
DI : Décodage de l'Instruction (DECODe instruction) et recherche des opérandes (Registre ou valeurs immédiate);
EX : Exécution de l'Instruction (EXECute instruction) (si ADD, on fait la somme, si SUB, on fait la soustraction, etc.);
MEM : Accès mémoire (MEMory access), écriture dans la mémoire si nécéssaire ou chargement depuis la mémoire ;
ER : Ecriture (Write instruction) de la valeur calculée dans les registres.
Les instructions sont organisées en file d'attente dans la mémoire, et sont chargées les unes après les autres.
Grâce au pipeline, le traitement des instructions nécessite au maximum les cinq étapes précédentes.
Dans la mesure où l'ordre de ces étapes est invariable (LI, DI, EX, MEM et ER), il est possible de créer dans le processeur un certain nombre de circuits spécialisés pour chacune de ces phases.
L'objectif du pipeline est d'être capable de réaliser chaque étape en parallèle avec les étapes amont et aval, c'est-à-dire de pouvoir lire une instruction (LI) lorsque la précédente est en cours de décodage (DI), que celle d'avant est en cours d'exécution (EX), que celle située encore précédemment accède à la mémoire (MEM) et enfin que la première de la série est déjè en cours d'écriture dans les registres (ER).
Il faut compter en général 1 à 2 cycles d'horloge (rarement plus) pour chaque phase du pipeline, soit 10 cycles d'horloge maximum par instruction. Pour deux instructions, 12 cycles d'horloge maximum seront nécessaires (10+2=12 au lieu de 10*2=20), car la précédente instruction était déjà dans le pipeline. Les deux instructions sont donc en traitement dans le processeur, avec un décalage d'un ou deux cycles d'horloge). Pour 3 instructions, 14 cycles d'horloge seront ainsi nécessaires, etc.
Le principe du pipeline est ainsi comparable avec une chaîne de production de voitures. La voiture passe d'un poste de travail à un autre en suivant la chaîne de montage et sort complètement assemblée à la sortie du bâtiment. Pour bien comprendre le principe, il est nécessaire de regarder la chaîne dans son ensemble, et non pas véhicule par véhicule.. Il faut ainsi 3 heures pour faire une voiture, mais pourtant une voiture est produite toute les minutes !
Il faut noter toutefois qu'il existe différents types de pipelines, de 2 à 40 étages, mais le principe reste le même.
TECHNOLOGIE SUPERSCALAIRE
La technologie superscalaire (en anglais superscaling) consiste à disposer plusieurs unités de traitement en parallèle afin de pouvoir traiter plusieurs instructions par cycle.
HYPERTHREADING
La technologie HyperThreading (ou Hyper-Threading, noté HT, traduisez HyperFlots ou HyperFlux) consiste à définir deux processeurs logiques au sein d'un processeur physique. Ainsi, le système reconnaît deux processeurs physiques et se comporte en système multitâche en envoyant deux thréads simultanés, on parle alors de SMT (Simultaneous Multi Threading). Cette « supercherie » permet d'utiliser au mieux les ressources du processeur en garantissant que des données lui sont envoyées en masse.
PRESENTATION DE LA CARTE MERE
L'élément constitutif principal de l'ordinateur est la carte mère (en anglais « mainboard » ou « motherboard », parfois abrégé en « mobo »). La carte mère est le socle permettant la connexion de l'ensemble des éléments essentiels de l'ordinateur.
Comme son nom l'indique, la carte mère est une carte maîtresse, prenant la forme d'un grand circuit imprimé possédant notamment des connecteurs pour les cartes d'extension, les barrettes de mémoires, le processeur, etc.
CARACTERISTIQUES
Il existe plusieurs façons de caractériser une carte mère, notamment selon les caractéristiques suivantes :
Le facteur d'encombrement, Le chipset, Le type de support de processeur, Les connecteurs d'entrée-sortie.
FACTEUR D'ENCOMBREMENT D'UNE CARTE MERE
On désigne généralement par le terme « facteur d'encombrement » (ou facteur de forme, en anglais form factor), la géométrie, les dimensions, l'agencement et les caractéristiques électriques de la carte mère. Afin de fournir des cartes mères pouvant s'adapter dans différents boîtiers de marques différentes, des standards ont été mis au point :
AT baby / AT full format est un format utilisé sur les premiers ordinateurs PC du type 386 ou 486. Ce format a été remplacé par le format ATX possédant une forme plus propice à la circulation de l'air et rendant l'accès aux composants plus pratique ;
ATX : Le format ATX est une évolution du format Baby-AT. Il s'agit d'un format étudié pour améliorer l'ergonomie. Ainsi la disposition des connecteurs sur une carte mère ATX est prévue de manière à optimiser le branchement des périphériques (les connecteurs IDE sont par exemple situés du côté des disques). D'autre part, les composants de la carte mère sont orientés parallèlement, de manière à permettre une meilleure évacuation de la chaleur ;
ATX standard : Le format ATX standard présente des dimensions classiques de 305x244 mm. Il propose un connecteur AGP et 6 connecteurs PCI.
micro-ATX : Le format microATX est une évolution du format ATX, permettant d'en garder les principaux avantages tout en proposant un format de plus petite dimension (244x244 mm), avec un coût réduit. Le format micro-ATX propose un connecteur AGP et 3 connecteurs PCI.
Flex-ATX : Le format FlexATX est une extension du format microATX afin d'offrir une certaine flexibilité aux constructeurs pour le design de leurs ordinateurs. Il propose un connecteur AGP et 2 connecteurs PCI.
mini-ATX : Le format miniATX est un format compact alternatif au format microATX (284x208 mm), proposant un connecteur AGP et 4 connecteurs PCI au lieu des 3 du format microATX. Il est principalement destiné aux ordinateurs de type mini-PC (barebone).
BTX : Le format BTX (Balanced Technology eXtended), porté par la société Intel, est un format prévu pour apporter quelques améliorations de l'agencement des composants afin d'optimiser la circulation de l'air et de permettre une optimisation acoustique et thermique. Les différents connecteurs (connecteurs de mémoire, connecteurs d'extension) sont ainsi alignés parallèlement, dans le sens de circulation de l'air. Par ailleurs le microprocesseur est situé à l'avant du boîtier au niveau des entrées d'aération, où l'air est le plus frais. Le connecteur d'alimentation BTX est le même que celui des alimentations ATX. Le standard BTX définit trois formats :
BTX standard, présentant des dimensions standard de 325x267 mm ;
micro-BTX, de dimensions réduites (264x267 mm) ;
pico-BTX, de dimensions extrêmement réduites (203x267 mm).
ITX : Le format ITX (Information Technology eXtended), porté par la société Via, est un format extrêmement compact prévu pour des configurations exigûes telles que les mini-PC. Il existe deux principaux formats ITX :.
mini-ITX, avec des dimensions minuscules (170x170 mm) est un emplacement PCI ;
nano-ITX, avec des dimensions extrêmement minuscules (120x120 mm) et un emplacement miniPCI.
COMPOSANTS INTEGRES
La carte mère contient un certain nombre d'éléments embarqués, c'est-à-dire intégrés sur son circuit imprimé :
Le chipset, circuit qui contrôle la majorité des ressources (interface de bus du processeur, mémoire cache et mémoire vive, slots d'extension,...),
L'horloge et la pile du CMOS,
Le BIOS,
Le bus système et les bus d'extension.
En outre, les cartes mères récentes embarquent généralement un certain nombre de périphériques multimédia et réseau pouvant être désactivés :
Carte réseau intégré ; Carte graphique intégrée ; Carte son intégrée ; Contrôleurs de disques durs évolués.
LE CHIPSET
Le chipset (traduisez jeu de composants ou jeu de circuits) est un circuit électronique chargé de coordonner les échanges de données entre les divers composants de l'ordinateur (processeur, mémoire...). Dans la mesure où le chipset est intégré à la carte mère, il est important de choisir une carte mère intégrant un chipset récent afin de maximiser les possibilités d'évolutivité de l'ordinateur.
Certains chipsets intègrent parfois une puce graphique ou une puce audio, ce qui signifie qu'il n'est pas nécessaire d'installer une carte graphique ou une carte son. Il est toutefois parfois conseillé de les désactiver (lorsque cela est possible) dans le setup du BIOS et d'installer des cartes d'extension de qualité dans les emplacements prévus à cet effet.
L'HORLOGE ET LA PILE DU CMOS
L'horloge temps réel (notée RTC, pour Real Time Clock) est un circuit chargé de la synchronisation des signaux du système. Elle est constituée d'un cristal qui, en vibrant, donne des impulsions (appelés tops d'horloge) afin de cadencer le système. On appelle fréquence de l'horloge (exprimée en MHz) le nombre de vibrations du cristal par seconde, c'est-à-dire le nombre de tops d'horloge émis par seconde. Plus la fréquence est élevée, plus le système peut traiter d'informations.
Lorsque l'ordinateur est mis hors tension, l'alimentation cesse de fournir du courant à la carte mère. Or, lorsque l'ordinateur est rebranché, le système est toujours à l'heure. Un circuit électronique, appelé CMOS (Complementary Metal-Oxyde Semiconductor, parfois appelé BIOS CMOS), conserve en effet certaines informations sur le système, telles que l'heure, la date système et quelques paramètres essentiels du système.
Le CMOS est continuellement alimenté par une pile (au format pile bouton) ou une batterie située sur la carte mère. Ainsi, les informations sur le matériel installé dans l'ordinateur (comme par exemple le nombre de pistes, de secteurs de chaque disque dur) sont conservées dans le CMOS. Dans la mesure où le CMOS est une mémoire lente, certains systèmes recopient parfois le contenu du CMOS dans la RAM (mémoire rapide), le terme de « memory shadow » est employé pour décrire ce processus de copie en mémoire vive.
Le « complémentary metal-oxyde semiconductor », est une technologie de fabrication de transistors, précédée de bien d'autres, telles que la TTL (« Transistor-transistor-logique »), la TTLS (TTL Schottky) (plus rapide), ou encore le NMOS (canal négatif) et le PMOS (canal positif).
Le CMOS a permis de mettre des canaux complémentaires sur une même puce. Par rapport à la TTL ou TTLS, le CMOS est beaucoup moins rapide, mais a consomme en revanche infiniment moins d'énergie, d'où son emploi dans les horloges d'ordinateurs, qui sont alimentées par des piles. Le terme de CMOS est parfois utilisé à tort pour désigner l'horloge des ordinateurs.
Lorsque l'heure du système est régulièrement réinitialisée, ou que l'horloge prend du retard, il suffit généralement d'en changer la pile
LE BIOS
Le BIOS (Basic Input/Output System) est le programme basique servant d'interface entre le système d'exploitation et la carte mère. Le BIOS est stocké dans une ROM (mémoire morte, c'est-à-dire une mémoire en lecture seule), ainsi il utilise les données contenues dans le CMOS pour connaître la configuration matérielle du système.
Il est possible de configurer le BIOS grâce à une interface (nommée BIOS setup, traduisez configuration du BIOS) accessible au démarrage de l'ordinateur par simple pression d'une touche (généralement la touche Suppr. En réalité le setup du BIOS sert uniquement d'interface pour la configuration, les données sont stockées dans le CMOS. Pour plus d'informations n'hésitez pas à vous reporter au manuel de votre carte mère).
LE SUPPORT DE PROCESSEUR
Publié le 30/09/2008 à 12:00 par diophante
ADSL : Neuf Cegetel s'efface devant SFR
SFR a dévoilé aujourd'hui son plan d'attaque, après l'absorption de Neuf Cegetel. Disparition de la marque Neuf, nouvelle offre ADSL, découvrez le nouveau SFR « à la puissance Neuf ».
C'était écrit : Neuf Cegetel rejoint Wanadoo, AOL, Club-Internet et Alice au panthéon des grands noms de l'ADSL français. Non par manque de résultats, mais justement par trop de réussite. Gobé par son ancien actionnaire SFR en avril dernier, le deuxième FAI alternatif français va maintenant disparaître, du moins sous sa forme et son nom actuels. Désormais, la marque au carré rouge primera, comme SFR l'annonce officiellement ce lundi 29 septembre 2008.
Le groupe a présenté aujourd'hui sa stratégie et ses offres, en tant que nouveau géant des télécoms fixe et mobile, qui lui permettront de titiller le tout puissant Orange. C'est sur la partie ADSL que la fusion aura le plus d'impact, Neuf Cegetel et SFR disposant tous deux d'une offre haut débit distincte. Il a fallu faire un choix.
Petit nouveau sur le marché, SFR a eu le bon goût de privilégier l'offre de Neuf, déjà adoptée par plus de trois millions d'abonnés. Exit donc l'offre SFR Box ADSL. Relookée et enrichie, celle de NeufBox sera relancée à partir du 8 octobre prochain sous le nom de « neufbox de SFR », dernier vestige de la marque Neuf. Voici ses caractéristiques, que vous pouvez également découvrir dans leur intégralité dans le prochain numéro de L'Ordinateur individuel, à paraître mardi 30 septembre.
Des tarifs ADSL inchangés
L'offre neufbox de SFR est très proche de l'offre 100 % NeufBox actuelle, déjà bien ficelée. Elle en reprend le contenu et les tarifs, soit 29,90 € par mois pour du triple play (Internet, téléphone fixe et TV) en zone dégroupée, sans période d'engagement, ou 14,90 € par mois pour de l'Internet seul.
Le service de téléphonie fixe illimitée comprend toujours une cinquantaine de pays et le bouquet TV comporte toujours une option à 5 euros par mois pour disposer d'un décodeur avec magnétoscope numérique (80 Go de stockage).
Un nouveau modem, ou presque
A nouvelle offre, nouveau modem. Pourtant, la neufbox SFR reprend la NeufBox 4 à 99 % : seul le capot a été modifié. Exit le logo Neuf sur fond noir, la nouvelle box arbore un capot blanc siglé « neufbox » et affublé du carré rouge « SFR ». Les composants et la connectique de la machine sont les mêmes. Seule l'interface de gestion et le firmware (logiciel embarqué) seront modifiés, à distance, y compris sur les anciennes NeufBox 4.
A partir du 8 octobre, les nouveaux abonnés SFR recevront automatiquement ce modem. Les clients Neuf ou SFR actuels pourront conserver leur ancienne box pour le moment (1). Une installation à domicile gratuite de la neufbox SFR est proposée pour les néophytes, comme le faisait Neuf Cegetel depuis cet été.
Une connexion 3G en cas de panne de l'ADSL
Voici la véritable nouveauté de l'offre ADSL de SFR. En cas de coupure de l'accès à Internet pendant plus de 48 heures, SFR propose un plan B à ses abonnés : une clé 3G+, permettant de connecter son ordinateur à Internet par la voie des airs, grâce au réseau mobile de l'opérateur (7,2 Mbit/s maximum). Pour l'obtenir, il faut que la coupure provienne d'un problème technique du ressort du FAI.
Au bout de 48 heures de rupture du service, l'abonné doit se rendre dans une boutique SFR où la clé lui sera prêtée le temps de la réparation, moyennant une caution de 59 euros. Cette clé n'autorise que le transfert de 1 Go de données et son usage interdit les applications de peer to peer ou de téléphonie sur IP.
800 points de vente physiques
En passant sous le giron de SFR, les abonnés Neuf gagneront un réseau de 800 agences physiques réparties dans toute la France. Un plus indéniable en matière de service clients. Il sera donc possible de s'adresser à un visage pour souscrire un abonnement et, surtout, pour essayer de résoudre un problème technique ou commercial.
Pas encore de vraie convergence fixe-mobile
Le service Ma Sfere, lancé en août dernier par SFR, permet de sauvegarder sur Internet le contenu de son téléphone portable (contacts, SMS, photos, musiques...), pour y accéder depuis un PC. L'opérateur devrait bientôt le coupler au service Neuf Giga, qui centralise également à distance les contenus d'un PC, d'un décodeur TV ou d'un disque dur, pour les voir sur sa TV.
Ainsi, les abonnés neufbox SFR obtiendraient un espace de stockage unifié, accessible depuis n'importe quel terminal fixe ou mobile. On s'attend également à terme à ce que SFR lance une offre totalement quadruple play, ajoutant la téléphonie mobile traditionnelle à l'offre triple play.
(1) En attendant, SFR se contente d'annoncer pour octobre de nouveaux forfaits mobiles « Illimythics Famille ». Ils permettront d'effectuer un nombre d'appels illimtés entre quatre mobiles SFR (quel que soit le forfait des trois autres), 24 heures sur 24, mais aussi vers le numéro fixe de la neufbox SFR du foyer. Ces forfaits sont facturés à partir de 39,90 euros par mois pour 2 heures (engagement 24 mois), 49,90 euros par mois pour 3 heures ou 79,90 euros par mois pour 6 heures.
Fini l'offre « SFR Box ADSL »
SFR doit annoncer la disparition de l'offre ADSL qu'il avait lancée en avril 2007 (elle associait triple play et connexion 3G+ pour PC). Les abonnés actuels en bénéficieront bien sûr jusqu'à la fin de leur période d'engagement et seront ensuite invités à migrer vers la nouvelle offre. La clé 3G+ en tant qu'option, et non en tant que clé de dépannage, fera peut-être sa réapparition plus tard dans les forfaits haut débit de l'opérateur.
(1) Article mis à jour le 29 septembre à 17 heures, sur la base des informations complémentaires communiquées par SFR lors de sa conférence de presse.
Jeff tu est SFR maintenant , ça me fait rire ils s'entretuent pour du pognon et on voit ce qui arrive en ce moment , qi se fout de qui dans le monde de la finance ? Et de qui se foutent ils ces endoffés de magnats , c'est clair , les petits en prennent plein la gueule pour ces assoiffés de pognon . Il faut tout foutre en l'air dans cette société de merde .
A quand une baguette à 1 000 000 de dollars ou d'euros ? Prochainement très prochainement...............
Publié le 13/09/2008 à 12:00 par diophante
COMPRENDRE UN ORDINATEUR
L'ordinateur offre une expérience multimédia à grande vitesse unique. La puissance du Pentium 4 d'Intel et de la mémoire SDRAM (mémoire vive dynamique synchrone) fait de cet ordinateur XYZ celui dont vous avez besoin pour votre travail et vos loisirs intenses!
Processeur
ici c'est un processeur AMD
Processeur Intel® Pentium® 4 de 2.0 GHz, ou AMD , avec un système bus de 600 MHz pour une incroyable vitesse.Bien entendu il y a des processeurs plus puissants.C'est le moteur de l'ordinateur. Il exécute les instructions contenues dans les programmes. Il le fait de façon plus ou moins rapide en fonction de la fréquence interne du processeur. Par exemple un processeur à 3 Ghz effectue 3 milliards d'opérations à la seconde. Il s'installe sur la carte sur le sockets (carré blanc).
Il est possible de remplacer un processeur par un autre plus puissant à condition de choisir un processeur du même type (socket) que celui déjà en place. Il est par exemple possible de changer un Pentium IV 2.0 Ghz par un Pentium IV 3.0 Ghz. Attention néanmoins car cette opération ne sera pas toujours supportée par votre carte mère. Il est donc indispensable de lire la notice de votre carte mère afin de connaître la fréquence maximale du processeur que celle ci peut supporter. Toutes ces incompatibilités expliquent qu'un changement de carte mère s'accompagne souvent d'un changement de processeur et vice versa.
Il est possible d'augmenter la fréquence d'un processeur, on parle dans ce cas d'overclocking. Cette technique peut être dangereuse pour votre processeur si elle est mal contrôlée.
Tous les processeurs chauffent en effectuant leurs calculs. C'est la raison pour laquelle ils sont refroidis par des ventilateurs.
Memoire

Mémoire vive dynamique Ram Bus double canal de 1 Go pour des performances rapides comme l’éclair.Également appelée RAM. Nous la comparons souvent aux poumons de l'ordinateur, puisque c'est de cette mémoire que sont puisées les ressources nécessaires au lancement de vos applications. Plus vous en avez, plus votre ordinateur sera endurant. Aujourd'hui 128 semblent être un minimum. 512Mo ne seront jamais de trop si vous souhaitez travailler sur la photo, le montage vidéo et généralement tout ce qui touche à l'image.
Trois type de mémoires se côtoient sur ce marché :
* La mémoire EDO qui équipe les vieux PC (on n'en trouve plus à la vente sauf dans des magasins d'occasion)
* La mémoire SDRAM. Ancienne génération de mémoire on en trouve encore mais voué a disparaitre.
* La mémoire DDRAM qui est beaucoup plus rapide que la mémoire SDRAM, actuellement le plus répendu.(On retrouve 3 formes de DDRAM : la DDR, la DDR2, la DDR3, ces trois types sont différentes dans leur puissances).
Le prix des barrettes mémoires est très fluctuant.
Rajouter de la mémoire est une opération très facile. Attention néanmoins de choisir le bon type de mémoire vive car chaque carte mère est associée un type bien précis, les autres étant incompatibles.
Choix de baies de lecteur
ici on voit 6 baies de lecteur
Deux choix de largeur de baies disponibles pour les lecteurs de 5.25 pouces : DVD-R, DVD-RW, DVD-R/CD-RW, et pour les lecteurs de 3.5 pouces : lecteur de disquette, lecteur ZIP 250, ou lecteur multimédia.
Carte video ou carte graphique
ici carte vidéo pci
carte vidéo agp
Carte vidéo avancée super AGP 8X pour des couleurs et une clarté éblouissantes!La carte vidéo, également appelée carte graphique est l'élément par lequel vos données sont affichées sur votre écran. Ce dernier se branche d'ailleurs sur la carte.
Avec l'explosion du jeu vidéo, les cartes graphiques sont de plus en plus performantes et intègrent même un processeur chargé de calculer la position des points sur votre écran. Cela explique la présence du ventilateur. Avant, tout était calculé par le processeur principal et cela limitait la fluidité de l'image qui n'était pas traitée de façon suffisamment rapide.
Les cartes graphiques sont presque toutes au format AGP (port marron), plus rapide que le port PCI. Mais maintenant les cartes graphiques nouvelle génération se font sur PCI-Express, car elles ont un débit plus rapide. Une carte graphique AGP 8x à un débit de 2Goctes par seconde
alors que la carte graphique PCI-Express à un débit de 8 Goctes par seconde.
Changer une carte graphique est facile. Pensez néanmoins lors d'un changement à désinstaller l'ancienne par le gestionnaire de périphériques de Windows.Si vous êtes sur le systeme windows.
Ports
Quatre ports USB, ou plus ou moins comme pour les ports bus FireWire (IEEE 1394) situés sur la façade pour une connexion rapide des périphériques numériques. Deux autres ports USB, deux ports série et un port parallèle à l’arrière pour connecter les autres périphériques..
a suivre.........................
Publié le 24/07/2008 à 12:00 par diophante

En Italie, c'est Fernanda Lessa qui est le (beau) visage des pubs Alice. Le Blog FHM vous la fait découvrir...
En Italie... c'est moins logique ! C'est en effet une Brésilienne qui incarne Alice chez nos voisins ! Elle s'appelle Fernanda Lessa et a déjà été le visage de marques comme Armani, Alfa Romeo ou L'Oréal. Mais alors que notre Alice française fait un peu "poupon", voire bébé, la Alice italienne, elle, est plus "mûre" : elle vient tout juste de fêter ses 30 ans (elle est née le 15 avril 1977 à Rio, au Brésil). Ce qui ne l'empêche pas d'être largement aussi jolie...
En Italie, elle s'affiche comme notre Alice sur tous les murs et à la télé. Pour preuve, ces deux spots que vous offre le Blog FHM. A noter que dans cette campagne, elle joue avec Valentino Rossi, célèbre pilote de moto... Ah oui, dernier détail : notre Alice est blonde... alors que l'Alice italienne est brune ! Laquelle préférez-vous ?
Il Dottore apparaît donc ces jours-ci en quatrième de couverture des grands quotidiens italiens ainsi que dans un spot télé, en compagnie de la sublimissime modèle brésilienne Fernanda Lessa.
Dans la version télé, la ravissante Fernanda - qui aurait certainement pu inspirer Brassensa ! - tente d'échapper à une foule en délire quand survient son sauveur, un motard tout de noir vêtu au guidon d'une moto tout aussi noire. Hop, ni une ni deux : la belle enfourche la bête et parvient enfin à extraire ses 178 cm (88-61-90) d'une marée humaine un poil menaçante...
http://www.dailymotion.com/video/x2epb4_pub-alice-italie-2-sur-wwwblogfhmfr_ads